Emplois, stages, thèses et post-doctorats

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  • TECHNICIEN (Agent en Protection Cathodique)
    CDI Temps plein après périodes d'essai concluantes

    L'entreprise certifiée MASE recherche un Technicien (Agent en Protection Cathodique) basé en région Dijonnaise.

     

    Rayonnement dans le grand quart Nord Est - Déplacements fréquents en national.

    • Mesures d’ordre électrique sur site sur ouvrages enterrés ou immergés (résistivité de sol, valeur d’isolement, essai de polarisation, potentiel… ),
    • Détection de canalisations,
    • Détection de défauts de revêtements sur canalisations enterrées,
    • Pose de lits d'anodes - Installation coffret soutirage, prise de potentiel,
    • Soudures aluminothermiques,
    • Rédaction de rapport.

     

    Bac + 2 à minima (BTS électrotechnique, DUT génie électrique, électricien, électrotechnicien ou équivalent).

     

    Titulaire du permis B

    Maîtrise des outils informatique (Word, Excel)

    Forte aptitude à l’autonomie, la méthode, l’organisation, la responsabilité, le travail extérieur

     

    Qualifié ou certifié « Agent en protection cathodique – secteur Terre » serait un plus

    Formation interne

    Véhicule de service - Ordinateur et portable fournis - Mutuelle

    Accompagnement dans les premiers temps (binômage)

    Salaire selon profil

     

    Lettre de motivation & CV à : cecil.gouet-roul@proteca.fr

     

  • Etude de la sensibilité à la fragilisation par l’hydrogène de métal déposé en Alliage 82
    Stage

    Dans les réacteurs nucléaires électrogènes de type REP (Réacteurs à Eau Pressurisés), l’intégrité des composants mécaniques du circuit primaire, sous pression, doit être assurée, et la démonstration doit en être justifiée, en toute circonstance de fonctionnement. Ces démonstrations utilisent en particulier les concepts et outils de la mécanique de la rupture. Certains équipements comportent dans leur enceinte sous pression, des composants en alliage à base Nickel (métaux de base et métaux déposés des soudures) qui ont un comportement ductile, et dont la résistance à la déchirure doit être caractérisée. Ces caractérisations sont usuellement faites par des essais de résistance à la déchirure réalisés aux températures de fonctionnement (vers 320°C), dans l’air. Néanmoins, la littérature rapporte que la résistance à la déchirure à basse température (inférieure à 100°C) de ces zones soudées pourrait être abaissée par une exposition au milieu « eau primaire REP ». Le mécanisme de « fragilisation » suspecté pourrait être associé à la présence d’hydrogène.

     

    L’étude proposée a pour objectif d’analyser la sensibilité à la fragilisation par l’hydrogène de l’alliage 82, sous forme de métal déposé. La démarche expérimentale qui sera mise en œuvre consistera à combiner des essais mécaniques réalisés en autoclave, ou à l’air, après exposition des éprouvettes au milieu REP simulé, à une étude par microscopie à force atomique en mode KFM d’échantillons modèles préalablement chargés en hydrogène. Cette démarche qui comprend deux étapes permettra d’une part, de mettre en évidence la fragilisation des matériaux dans le milieu d’étude, et d’autre part, d’analyser les processus élémentaires de diffusion et piégeage de l’hydrogène.

     

    Cette étude sera réalisée dans le cadre d’un CDD, d’une durée de 6 mois (1er mars 2020 – 31 août 2020). Elle correspond à une analyse de faisabilité, la collaboration devant se poursuivre par une thèse dont le démarrage est prévu à l’automne 2020. Les travaux relatifs à cette étude seront réalisés dans les locaux du CIRIMAT, sous la direction de Christine Blanc, et co-encadrés par Lydia Laffont, dans le cadre d’une collaboration avec Framatome (Pierre Joly).

     

     

    Début du CDD : 01 mars 2020

    Profil du (de la) candidat(e) : le(la) candidat(e) devra posséder de solides connaissances dans le domaine des matériaux métalliques. Des compétences pour ce qui concerne les problématiques de durabilité de ces matériaux constituent aussi un prérequis. La personne recrutée devra également apprécier l’expérimentation et le travail en équipe.

    Lieu : CIRIMAT, laboratoire situé au sein de l’ENSIACET/INPT  à Toulouse.

    Salaire : 1523 € brut / mois

     

    Les candidatures (CV + lettre de motivation) sont à adresser avant le 6 décembre 2019


     

     

    Christine Blanc – 05 34 32 34 07 – christine.blanc@ensiacet.fr

    Lydia Laffont – 05 34 32 34 37 – lydia.laffont@ensiacet.fr

    Pierre Joly - pierre.joly@framatome.com

  • Ingénieur/Électrochimiste en Corrosion des Matériaux
    CDD 18 mois

    Au sein du Département de Physico-Chimie du CEA-Saclay, le Laboratoire de Corrosion Aqueuse (LECA) est en charge d’étudier et de modéliser les phénomènes de corrosion dans les milieux aqueux (haute température et haute pression, environnement aqueux naturels ou synthétiques).


    Le poste proposé a pour cadre principal l'étude des processus de corrosion intervenant à l’interface entre des déchets de magnésium (issus de la filière Uranium Naturel Graphite Gaz) et leur matrice de blocage (géopolymère) dans un colis de stockage. Cette étude vise à répondre aux besoins d’études exprimés par l’Andra, dans le cadre d’un Programme d’Investissement d’Avenir (projet DECIMAL (https://www.andra.fr/sites/default/files/2019-03/Fiche%20projet%20DECIMAL%20VF-FR.pdf) qui rassemble plusieurs partenaires : CEA, ICSM, INSA-Rennes, Chimie Paristech, Orano.


    Afin de décrire les phénomènes de corrosion des alliages de magnésium et réaliser des prévisions (vitesses de corrosion, dégagement gazeux, etc.), il s’agit de réaliser des expériences de corrosion couplées à un suivi par des méthodes électrochimiques, de caractériser les matériaux et de proposer des mécanismes réactionnels.  En relation avec les ingénieurs et les techniciens impliqués dans le projet (dans ou en dehors du laboratoire), il s’agira de : - réaliser le suivi corrosimétrique de plusieurs échantillons dans des milieux représentatifs, - utiliser et développer des moyens d’essais spécifiques (suivis électrochimiques), - utiliser des techniques de caractérisation et d’analyse fines (MEB, Raman, XPS), - proposer des mécanismes décrivant les étapes réactionnelles de la corrosion, - rédiger des notes techniques et communiquer sur les résultats (réunions d’avancement, conférences, articles).


    Pour ce CDD, il est recherché un candidat titulaire d’un doctorat dans le domaine de la corrosion des matériaux avec une expérience dans le domaine des mesures électrochimiques. Autonomie, sens de l’organisation, capacité à rendre compte et esprit d’équipe sont requis.
     

    Contact : Marion LE FLEM (DPC/SCCME/LECA) ; marion.leflem@cea.fr -  Tél. : 01 69 08 16 19

     

     

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