La réparation d’un bâtiment classé monument historique répond à des exigences particulières notamment de règles très précises dans le cadre du contrôle scientifique et technique exercé par les services du ministère de la Culture et de la Communication au travers de la Direction des affaires culturelles. Les travaux de réparation ne doivent pas modifier l’aspect général du bâtiment ni la nature des matériaux. Dans ce contexte, cette présentation relate les différentes opérations effectuées sur un bâtiment iconique de l’architecture du Mouvement Moderne en bord de mer, la Villa E-1027 située à Roquebrune-Cap-Martin (06) : diagnostic amont, évaluation des pathologies de corrosion des aciers, mise en œuvre d’une stratégie de réparation, essai pilote de protection cathodique par courant imposé, installation et résultats préliminaires.

monument historique, béton armé, acier, corrosion, protection cathodique
HallopeauXavierFreyssinet International & Ciexavier.hallopeau@freyssinet.com
LesieutreOlivierFreyssinet International & Cieolivier.lesieutre@freyssinet.com
MeillierArnaudFreyssinet International & Ciearnaud.meillier@freyssinet.com
Marie-VictoireElisabethLaboratoire de Recherche des Monuments Historiqueselisabeth.marie-victoire@culture.gouv.fr
BouichouMyriamLaboratoire de Recherche des Monuments Historiquesmyriam.bouichou@culture.gouv.fr
7e journées Protection Cathodique et Revêtements Associés (dîner officiel inclus)

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